Hop, aujourd’hui c’était la Randuro de La Grand Combe (30). il fallait se lever tôt, très tôt (5h45) pour être là-bas à 8h00. Et quand tu ouvres les volets et qu’il fait nuit noire et que des seaux d’eau s’abattent sur la maison, le moral n’est pas au beau fixe ! Mais on a dit qu’on irait avec les copains, en mode « challenge » ! Finalement, arrivés là-bas, il ne pleut plus.
On croise les doigts, on espère, les nuages se rassemblent au dessus de nous et… On se prend une grosse drache sur toute la (courte) spéciale 1 puis la liaison 2. Dur ! Puis le vent se lève et il s’arrête de pleuvoir. La spéciale 2 est un genre de ruisseau où les pescadous auraient envie de pécher à la main, sous les cailloux LOL Après la longue liaison vers la spéciale 3, on se régale ! Qu’elle est bonne celle-là, à serpenter sur les graviers miniers. Elle est fluide et fun ! Top ! En plus ça accroche, même dans ces conditions !
On repart pour une longue liaison vers la spéciale 4. On est trempés mais on a le moral finalement. Même les rafales de vent ne nous stoppent pas ! On passe au ravito de Chlchi où il n’y a pas grand monde (Simon Andre). On se pèle dans le vent… Puis on enquille la spéciale 4 où on se rend bien compte que le grip est vraiment bon dans ces conditions humides. Il y a de la technique, ça envoie ! On se dirige vers la spéciale 5 en passant au ravito où on croise un peu plus de people, mais on se barre vite car les rafales de vent se font de plus en plus fortes ! On croise les Faure (Olivier et Enzo) en montant vers la spéciale 5 et là aussi la liaison est longue. On connait le départ, on connait l’arrivée, mais les locaux ont super bien bossé dans la partie centrale de cette spéciale. On s’éclate bien !
On remonte vers la spéciale 6 et on la découvre. Elle est toute nouvelle et courte… Et engagée par endroit. Cailloux, dalles, pente. Sur le bas, dans un virage, je lâche le vélo et je reste accroché à un arbre. #Sauvetage Spéciale 7, on la connait en partie et Romain se prend quand même un arbre, poussé par Jocelyn et Benjamin… P’tain, ils avionnent, et m’attendent en bas des spéciales. C’est chouette ces tracés qui disposent de pumptracks naturelles.
Dernière liaison, on tient le bon bout. La spéciale 8 part du sommet de la piste de DH mais emprunte un tracé d’enduro avec de très jolies nouveautés ! Il y a eu du boulot ! Elle est très longues et les copains m’attendent. Fin de la randuro. On est complètement crottés, le calbute semblable à celui d’un vegan qui aurait la diarrhée… Mais on a le sourire ! 1400m de D+ pour 38km (pas sûr pour la distance ?)
Dommage pour la météo, mais il y a quand même eu 180 courageux m’a dit Robert. On a fini la sortie avec une phrase du grand sage Jocelyn: « chaque fois qu’on vient rouler à La Grand Combe, on passe du bon temps » A méditer… (Surtout vu la météo !)
Après la visite de leurs premiers locaux en 2015, puis celle de 2017, c’est désormais de l’autre côté de la rue que les indiens se sont installés pour disposer d’un espace de travail plus vaste et largement adapté à leur activité… Pour combien de temps ?
L’entreprise évolue toujours très vite et et je vous propose de vous poser quelques instants devant l’écran pour en voir les contours actuels. Visite guidée avec Alexandre Cauchy, le chef de la tribu…
(Attention, dans la vidéo il manque Clément Harranger, monteur de roues et préparateur de commandes, en congés au moment du tournage)
Mohawk’s Cycles est le distributeur, pour la France, des marques: Pivot Cycles, Enve Composites, WTB, 3T, Parlee, Open, Panzer, Chris King, Cane Creek, EECycleWorks, Praxis, THM, Trust Performance, DMR, ESIgrips, Moots, Orange Seal, Arundel, Alpina, Ass savers, Fidlock, BikeYoke, Indian Shield, WD-40, K-Edge, Velo Orange, Velosophe.
Vu que j’avais adoré l’édition 2018 du Pilatrack, il fallait que j’y retourne en 2019 ! Alors quand Christophe a créé une discussion rassemblant tous les copains et les gens du club pour voir comment s’organiser ce week-end, j’ai décidé de rassembler tout le monde dans le même domaine, celui de La Barollière, que certains connaissaient depuis plusieurs années. Et la sauce a bien prise ! Qu’est ce qu’on s’est marré !
Samedi, pour la séance de reconnaissances, JDidier, Romain, François et moi avons été rejoint par Nicolas et DS Gonçalo qui étaient descendus la veille de région parisienne. Et puis il faut souligner que Didier participait à sa première course d’enduro… P’tain, on l’a tous « travaillé » pour qu’enfin il tente le truc ! Alors il fallait que ça lui plaise ! Et puis il fallait aussi que ça plaise à Bouba parce que quand il est venu chez moi à Valloire, il a détesté, et quand il est venu participer à la Mountain Of Hell sur mes conseils, il a détesté… Alors là, je lui ai même remonté son VTT pendant la liaison de la 2 le samedi, avant qu’il ne me pète une pile !
Samedi matin, on a donc reconnu une grosse moitié de la manche finale (« la poursuite »), notamment le gros pédalage histoire de montrer à Bouba qu’il allait falloir faire péter son physique avantageux le lendemain. Puis à midi on a été rejoint par les jeunes du César Bike avec Jean-michel et Guillaume. Et puis il y avait aussi l’équipe des « Gardéchois », Florent, Sté Lian, Benji … Bon, ça faisait beaucoup trop de monde pour parvenir à rouler tous ensembles alors on s’est un peu séparés, puis recroisés, puis re-séparés… etc Dans l’après-midi, on a réussi à reconnaitre les 3 spéciales du dimanche matin.
La Spé 1 reprenait le circuit de la version 2018, sauf pour le départ puisqu’il fallait passer dans la grande prairie de « la poursuite ». Cette spéciale, toute mouillée en 2018, était sèche samedi et je l’adore. Elle ne descend pas trop et son tracé est rapide et ludique ! La terre du Pilat, c’est un genre de litière qui accroche, c’est génial de rouler sur ce sol ! La Spéciale 2 est différente, plus pentue en haut et avec quelques cailloux cachés dans « la litière », elle est un peu plus technique et il faut jouer du frein. Il y a aussi une petite relance, rien de méchant… J’aime moins, mais les copains adorent ! Dans les parties inclinées, je roule derrière Bouba qui met une pression terrible à Jean-michel en imitant la sirène de la voiture balai du Tour de France… MDR Mais quand il est derrière Didier et Romain, je vois bien qu’il les suit ! La Spéciale 3, c’est un peu un mix de la 1 et de la 2. Un peu de pente mais un circuit assez lisse et rapide qui serpente entre les sapins, quelques passages techniques, et encore une fois cette terre incroyable ! Quel plaisir de rouler là ! Fin de journée, on boit une bière au Patio où on récupère nos plaques… On rentre à la Barollière, on lave/prépare vite fait les vélos pour le lendemain et c’est parti pour une soirée mémorable avec Didier et Bouba arrosé de Château de Trinquevedel, le vin produit par Guillaume.
Couchés à 23h, un groupe en séminaire fait la fiesta en dessous de nous sur des sons des années 80’… Impossible de fermer l’œil… Dég ! 6h30, le téléphone de Goula nous réveille… Faut y aller ! Il a légèrement plu ici, en bas. 7h30, on charge les vélos dans les camions et nous dans les bus. 9h20, bon bah finalement, on part tous quand on veut (sous une pluie fine)… Du coup je pars derrière les avions de mon groupe, Benji devant moi. L’herbe de la prairie du départ est gorgée d’eau, surtout qu’il bruine. Je n’ai même pas mis le masque ! Dans la forêt, c’est plutôt sec. il n’a pas plu beaucoup. Cette spéciale 1, c’est le rêve ! Même en roulant comme une bille (comme moi), tu as l’impression d’avionner ! C’est fluide, ça va vite, c’est génial ! Je passe la ligne à la 163è position (sur 277 au départ) sans m’être fait doubler et sans avoir doublé !
On monte la liaison vers la Spé 2 en poussant les vélos et on attend un moment avant notre départ. Didier raconte conneries sur conneries… Trop bon ! Départ de la Spé 2. Je ferme le groupe. P’tain, le haut est mouillé et je zippe sur tous les cailloux, dans les dévers. Je ne m’en sors pas. Je crois que je me fais doubler par 6 gars en tout (on partait toutes les 6s) sur la partie haute (et sans en gêner un seul !)… J’ai peur quand ça glisse comme ça ! Puis en dessous, quand ça penche moins et que c’est plus sec, je ne me fais plus doubler (sauf sur le chemin de 4×4 par Laurent). Je passe la ligne à la 209è place… Pffff, quel nul !
Dans la liaison qui nous amène vers la Spé 3, on fait un petit stop au ravitaillement. Comme l’année dernière, je fais de la maçonnerie dans ma bouche avec les bonbons Haribo. J’empile tout ce que je peux et je colmate avec du Coca ! Il me faut de l’énergie ! LOL Départ de la Spé 3, tout se passe bien ! Didier, parti 2 gars derrière moi me rattrape vite et je le laisse passer dans un inter pour ne pas le gêner. Je saute la marche puis François me double dans la partie la plus technique quelques virages avant l’arrivée, où je prenais l’échappatoire. Je ne m’en suis pas si mal sorti… 190è… Bof !
A midi, une bonne plâtrée de Paëlla et une salade de fruit et on remonte tous pour « la poursuite ». Dans ce format, on repartira tous en fonction de son classement du matin. En gros, tu pars avec l’écart qui te sépare des autres. Quand tu doubles, tu gagnes une place… Bouba a roulé super fort le matin et j’avais bien vu, la veille, qu’il envoyait. Il est 70è juste derrière Didier… Impressionnant ! Gonçalo est 55è et Manuel, un autre parisien descendu pour la journée, est 63è ! François est 109è. Goula est 21è… Je sais que je vais reprendre des places sur le pédalage, mais pas assez pour revenir sur le Bouba qui a creusé un gros écart ! Pas grave ! Je prends le départ et dans l’herbe je double un concurrent parti devant. Une fois dans la forêt, c’est mission impossible. Je ne peux doubler personne et je me fais bouchonner, et je bouchonne aussi quelques gars sur la monotrace. On est tous dans la même galère ! Arrivé dans la grande relance, je gère la première partie en single puis quand ça s’ouvre, c’est parti ! Je double 17 gars et je fais l’aspi avec un autre concurrent… Mais je n’en doublerai pas 25-30 comme l’an passé, parce que cette fois, les gars qui sont avec moi sont de mon niveau ! Je reviens sur Guillaume à l’entrée du dernier bois. Il est 2 places devant et dans un des derniers virages de la course, il passe son dérailleur dans la roue arrière. J’ai les boules pour lui. Je le double alors qu’il s’arrête pour regarder ce qui se passe et je termine à la 160è place (lui est 161è).
Booooh, ça me va bien ! C’est 25 places de plus que l’an passé, mais vu le bazar de chronos de l’année dernière, c’est sûrement plus mon niveau ! Romain termine 20è, Stélian 21è, Benji 27è avec un amortisseur cassé depuis la Spéciale 3, Manu 51è, François 81è, Didier 82è, Flo 128è, Bouba 130è, Gonçalo 208è (crevaison de l’avant au milieu du parcours), Jean-michel 233è. Le Pilatrack 2020, j’y retournerai, assurément ! Et je sais que les copains aussi !
Un grand merci à Ompi Riding pour cette course magnifique qui fait désormais des références parmi toutes celles que je connais, pour ses tracés et son organisation !
Voila ce que ça donnait le samedi pendant les reconnaissances du Pilatrack 2019, avec Nicolas, Gonçalo, François, Romain, JD, Jean-michel… Des spéciales exceptionnelles, une terre incroyable, des potes, du beau temps, le paradis ! C’est pour ça que je fais du VTT !
Après ma caméra embarquée de la journée de reconnaissances du samedi sur le Pilatrack, voila un petit montage de ma spéciale 1. Désolé pour la respiration de gros bœuf ! On aperçoit les copains, avant et après la manche, Nicolas, Gonçalo, Goula, JD, Manuel, Sté Lian, Benjamin…
Je l’ai dit le soir-même, je me suis fait enrhumer 7 fois sur la 2è spéciale du Pilatrack. Après une première spéciale vraiment cool où je n’ai doublé/gêné personne, et bien là, ça a remis les pendules à l’heure… Mais j’assume bien, j’ai pas coupé au montage !
Ça glissait sur le haut, je suis parti avec les freins mouillé…. Pfff, à quoi bon chercher une excuses. Au moins, j’ai filmé du monde, notamment le vainqueur Master EPHAD Laurent Meunier avec sa cape ! (Plus de 20 ans que je choppe une angine chaque fois qu’il part derrière moi sur les courses)… Et puis je crois que je n’ai pas embêté les pilotes plus rapides que moi.
Bon ok, j’ai été très mauvais dans la Spéciale 2 du Pilatrack, mais je me suis un peu rattrapé dans la 3, et j’attendais la 4, la longue « Poursuite », vu que je savais que dans les pédalages, je remonterai ! Voila donc la Spéciale 3 ou seuls JD et François m’ont doublés, partis 14s et 21s derrière moi (le gars de derrière, à 7s, ne m’a pas rattrapé). Cette Spéciale 3, c’est le top ! Elle manque un peu de largeur sur le haut mais sur les 2/3, le tracé est dément ! On aperçoit aussi Nicolas au départ.
Suite aux 3 spéciales du matin sur la Pilatrack, tu repars après manger en fonction de ton temps cumulé en mode « poursuite » pour un long circuit de près de 1000m de dénivelé. Vu que j’ai été à mon niveau sur la 1 (162è), mauvais sur la 2 (209è) et très moyen sur la 3 (190è), je pointais à la 185è place au départ de la 4… Alors il ne me tardait qu’une chose: les portions de pédalages pour me refaire un peu ! Parce qu’il faut l’avouer: en descente, c’est mission impossible pour doubler ! D’ailleurs moi, lorsque je me fais bouchonner, je ne laisse pas passer ceux de derrière ! Mais si c’est moi le bouchon, je laisse passer ! Logique non ? Je dis ça parce que j’ai laissé plein de commentaires assez parlants à ce sujet dans cette vidéo. Bilan… J’ai gagné 25 places et je me suis fait doubler une fois dans un pédalage et j’ai laissé passer un pilote avant l’arrivée vu que je le bouchonnais. (Avant l’arrivée, je croyais qu’il y avait quelqu’un derrière moi… mais non, je parlais tout seul en fait)
Je finis donc 160è… C’est pas bien brillant ! Mais je me suis sacrément amusé ! J’ai entendu quelques « vas-y Tchouk ! » le long du parcours… Merci !
Cet été, je suis monté en famille en Écosse et évidemment, il était impossible de ne pas aller rouler sur la piste de Fort William ! Vu qu’on s’y est déplacé en voiture, j’ai pu prendre mon VTT de DH et après quelques heures de roulages sur les pistes de Glencoe Mountain Resort (le 2 août), je suis allé voir les pistes du Nevis Range (le 3 août), du nom de la station de ski de Fort William.
Pour faire simple, Fort William est une petite ville de 10 000 habitants située dans les Highlands, au bord du Loch Linnhe qui est en fait un bras de mer. La ville est à 0m d’altitude et la station est à à peine 100m d’altitude, le tout surplombé par le point culminant de l’Écosse, le Ben Nevis (1345m)… Mais les pistes de ski sont situées sur l’Aonach Mor (1221m). La télécabine empruntée pour la Coupe du Monde de VTT ne sert, en hiver, que d’ascenseur pour monter sur le domaine skiable (où il y a 10 remontées mécaniques, dont 3 télésièges). Je ne sais pas si on peut parler de station puisqu’en fait en bas, il n’y a qu’un bâtiment restaurant/vente de forfait/location de matériel/gare de départ et un grand parking. A 17h au Nevis Range, c’est vide ! Au fait, en anglais, le diminutif de « William » c’est « Bill », du coup, quand on parle de « Fort William », on entend parfois dire « Fort Bill ». Côté VTT, et bien je m’attendais à un bike park à la française et il n’en est rien ! Il n’y a que 2 pistes permanents: la piste de la Coupe du Monde et la piste d’enduro. Les parties hautes de celles-ci sont 100% artificielles puisque la montagne est recouverte d’une épaisse tourbe dans laquelle tu t’enfonces, comme l’impression de marcher sur des éponges. Fort William est la ville la plus arrosée du Royaume-Uni, avec plus de 300 jours de pluie par an.
Le haut de la piste de DH est en gravette/cailloux plus quelques ponts de bois. Le haut de la piste d’enduro est en pont de bois sur peut-être 2km de long. Je n’ai jamais vu un tel northshore ! J’ai eu de la chance puisqu’il faisait beau quand j’y ai roulé ! Mais dans la forêt, ça reste tout de même gras ! Sur le bas du spot, il y a quelques aménagements, notamment la piste de 4X, une pumptrack et quelques pistes de XC aménagées dans les bois. 32£ la journée plus 3£ le parking, donc presque 40€ au total, c’est vraiment très cher… Même si les écossais pensent qu’avec le cours de l’euro, ça vaut le coup ! En plus, le niveau des 2 pistes est assez élevé je trouve. Il y a moyen, pour un débutant, de bien s’exploser sur la piste d’enduro une fois le north shore dépassé ! Il vaut mieux rouler sur un bike park français, mais c’était quand même super cool de poser mes roues là-bas !… Même si bien-sûr je me traine !
Bon enfin, après ma dernière publication, on peut toujours faire de très belles randos VTT (et pédestres) à Valloire Galibier… Le 14 août, je suis monté au Pain de Sucre (1981m) en partant de Valloire (1430m) mais en le contournant par derrière, côté Albanne/Les Karellis (en passant par le Lac de Pramol). Au total cela représente un dénivelé de presque 1000m cumulés mais surtout, en arrivant de ce côté du Pain de Sucre, tu découvres le panorama sur Valloire, les vallées de la Neuvachette, de la Valloirette, l’Aiguille Noire, la Sétaz, le Mont Thabor, le Grand Galibier, la Vallée de la Maurienne seulement au sommet.
Lac de Pramol – Les Karellis
Vallée de la Maurienne
Lac de Pramol
Vue depuis le sommet
Vallée de la Maurienne et Fort/Col du Télépgraphe
Voici donc la descente, en passant par Poingt Ravier, ce coup-ci en vidéo. Je n’avais jamais vu autant de monde là-haut et sur le chemin. Pour ceux qui trouveront que ça ne va pas très vite… Baaaahhh, il y avait du monde, ce n’était pas une course, et je ne suis pas Jared Graves. Ça vous laisse le temps d’apprécier le paysage !
La nouvelle pumptrack de Valloire Galibier… Un tour de la rouge et un tour de la bleue (il y a aussi une verte). Un des rares moments où, cette semaine, il n’y avait pas grand monde pendant 15 minutes.