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Rand’Automne à Nyons (26)

Dans ces moments bien tristes que nous vivons tous actuellement, il est nécessaire de s’aérer l’esprit (et de couper un peu facebook !).
Pour cela, rien de tel que de sortir le vélo et de profiter de la météo encore quasi-estivale de ce jour (dans ma région).
Pour Dom et moi, le programme de la matinée a été un sacré défi: participer à la Rand’Automne de Nyons.
L’an passé, j’y étais allé avec quelques copains du coin, pour  rouler sur le petit parcours (28km) mais cette fois-ci, on s’est lancé sur le grand ! 42km pour 1700m de D+, la couleur était annoncée !
A la différence de l’an passé, le terrain de jeu est sec et les conditions de roulage sont bonnes.
Rendez-vous prit à 8h30 avec un collègue de travail, Franck (avec qui j’organise les sorties VTT avec mes collégiens), qui vient avec nous pour la première fois. Cela fait 4 jours qu’il se met la pression et qu’il pense qu’on est des champions parce qu’on fait des courses :-). On le retrouve à Nyons, « chaud comme une baraque à frites » sur la place de Lille un jour de Braderie !!!
8h50, on attaque la route… D’entrée de jeu, biiiimmm, on se perd dans les rues de Nyons et on se tape une petite boucle pour revenir sur nos pas. Une fois sur le bon chemin, on attaque la montée, presqu’en direction de la piste de DH permanente qu’on connait déjà (on part juste sur la montagne de gauche).
Rapidement, on se retrouve sur des chemins qui « montent sa mère » à flanc de montagne, sur des singles pas larges et assez caillouteux, et malgré notre bonne volonté, on pose le pied par endroits pour pousser les bikes. Franck me double en montée et Dom a des soucis de passages de vitesses.
Arrivés en haut de la première montée, on a déjà fait 350m de D+ et on est…bien échauffés !
On passe sur un chemin de 4X4, on coupe la route qui permet de monter à l’antenne Relais puis on coupe la piste de DH permanente…. Et là, bbbiiimmm, ça monte encore plus qu’avant. Certains autres riders portent les vélos…
Au bout de cette montée bien usante, on trouve enfin une vraie descente, avec de la « vraie » pente dans la terre, sur des cailloux un peu humides (à cause de la rosée). Elle n’est pas très longue mais bien sympa. Franck est derrière dans la descente mais dés que ça remonte derrière, il passe devant. Dom: « Il envoie ton collègue ! »
Cette nouvelle montée est assez technique, pas large et avec quelques difficultés qu’il faut anticiper (des petites marches, des dévers, des racines…)
Là, on contourne la Garde Grosse en passant sous les falaises et le paysage est magnifique, on voit la plaine, la Vallée du Rhône, les Dentelles de Montmirail, jusqu’à l’Ardèche et le Gard.
Puis on passe derrière la montagne (par rapport à Nyons) et après quelques sections de montées (et quelques « poussages »), on entame une descente en single assez chouette mais très technique au début. A ce moment-là, j’ai « une lumière qui s’éteint en haut » et ce n’est qu’au milieu de la descente que je redeviens lucide. Franck est devant moi et Dom, encore plus loin, en « ch.. » aussi, mais avance à son rythme, dans la descente et dans la montée suivante sans attendre.

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En bas, on remonte un peu, on passe dans les oliveraies puis on termine notre chemin dans un chouette single en terre noire avant le ravitaillement de la Chapelle qui domine Châteauneuf de Bordette.

 

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Quand j’arrive, Dom attend déjà, mais moi j’ai perdu un peu de temps à attendre Franck, qui est rongé par les crampes ! 🙂 Il est mal et on n’a même pas fait la moitié de la rando… 🙂
On passe du temps au ravito (dans un coin magnifique !), Franck tente de récupérer, de s’étirer, puis on repart…
On laisse derrière nous la montagne qu’on a gravit tout à l’heure et on part sur le versant de la montagne d’en face.

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Et rebelote, ça attaque sur un single caillouteux en épingles. Au bout de 200m de montée, on entend Franck, derrière, qui gueule « aaarrrrggg, p’tain, j’ai des crampes de partout »… Il bâche et retourne en direction de Nyons au GPS 🙂 … Il est clairement parti trop vite et c’est lui qui nous tirait sur la première partie du parcours 🙂 Dommage 😉
Une fois en haut de cette montée (340m de D+), je tombe sur d’autres collègues du boulot, partis 45 minutes plus tôt que nous: « il est où Franck ?… Il ne voulait pas rouler avec nous, on va le démonter cette semaine ! Il va prendre cher » 🙂 🙂 🙂

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En haut de la Montagne de Peitieux (800m), on la contourne sur une DFCI et je sens que Dom est « dans le rouge ». Bizarrement, le 2è ravito arrive déjà… Ce n’est pas plus mal…

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Encore une fois, le coin est magnifique et on retrouve, à chaque ravito, les riders qu’on double, qui nous re-doublent, en montée, en descente…etc ça devient marrant de se retrouver surtout que certains connaissent « le Green Master Team », d’autres lisent les articles et regardent les vidéos TchoukTV 🙂

 

Le chocolat qui fond au soleil, un 15 novembre, à 900m d’altitude…

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On repart, il est déjà 12h20… Dom appelle sa femme pour lui dire qu’il ne sera pas là à midi ! 🙂
Sur la DFCI, Dom est un zombie qui pédale et je le motive: « le mental Dom, le mental ! On est là pour finir ce qu’on a commencé » 🙂
Puis, au niveau de la Grange d’Autuche, la DFCI devient un chemin de 4X4 caillouteux où on… pousse les vélos ! Seule une fille monte sur le vélo… Impressionnante !

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Après ces 200m de D+ de montée, on reste en crête sur la Montagne d’Autuche (900m) puis on attaque une superbe descente de 470m de D- d’abord dans des singles au milieu des buis, puis ensuite sur un chemin plus large rempli de cailloux, de dalles. ça avionne et on double un sacré paquets de riders. « Attention, voila les descendeurs » crie la reine de la montée… Chacun son truc 😉

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Arrivé en bas, aux Mayets, j’ai les jambes en feu, les freins puent le cramé et quand j’attaque la montée suivante (de 400m de D+), après quelques coups de pédales, je suis envahi brutalement de crampes dans les jambes, aux quadriceps, aux tendons des genoux, aux adducteurs… « Aaaarrrrggg »… Je m’étire sur le côté du chemin. Dom est mort de rire. Il s’est requinqué dans la descente et je lui dis de partir devant.
Je pousse le vélo, je bouge les jambes dans tous les sens, on dirait un pantin qui ne maitrise pas ses membres, et qui souffre en plus du Syndrome Gilles de La Tourette (« put…, aïe, aaarrrgg, ho conna…, haaaaa put… chi.. »)… Mais il faut que je monte !
Au bout de 20 minutes, ça va mieux et je fais quelques portions sur le vélo.
Dom m’attend puis je passe devant sur la fin de la montée. Je vois bien qu’il en a ras le bol ! 🙂 « Le mental Dom, le mental ! » 🙂 😉
On débouche enfin sur la route qui monte au sommet de la Garde Grosse et Dom me lance: « on n’est pas loin de la piste de DH là ? On se finit dessus au lieu de descendre par le circuit normal ? »
« Allé go, c’est parti… »
On monte un poil plus haut que la bifurcation de la rando et on enquille la piste de DH dans sa seconde partie, tranquillement (on n’a pas de protections et on est un peu… cuits !)
Les riders de Nyons ont fait un gros travail sur le haut de la piste et Dom voulait voir le nouveau roadgap: « ah bah là, je crois que le Mach 6 va se prendre une bonne claquée à la réception »… On verra ça en temps voulu… 🙂

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14h, on arrive enfin à Nyons après 5h10 de « crapahutage », de pauses ravitos et de déplacement en mode « pantin désarticulé. On en profite pour s’enfiler un hotdog, du pinard et de la Tapenade offerts par l’organisation.

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On parle un peu du circuit avec l’organisation. Leur positionnement est clair: « nous, on essaie de se démarquer des autres par la difficulté du parcours qu’on propose »
… Ah bah, tu m’étonnes Simone !
On en a ch… !!!!
Hier soir je faisais 95,2kg, Là, à 17h30, je pèse 92,7kg 🙂
Sur la route du retour à la maison, dans la voiture de Dom, les crises de crampes n’ont pas disparu… J’ai cru que j’allais traverser le plancher pour tendre les jambes et je pense que j’ai poqué le toit !

La Tchouk Randurosé: Rando-Enduro-Rosé

Depuis que je suis arrivé dans le coin (sur le secteur de Suze La Rousse), je roule quasiment chaque semaine sur la colline du Barry (en face de la Centrale Nucléaire du Tricastin, entre Saint-Paul 3 Châteaux et Bollène).  Cette petite colline de 230m de dénivelé est « gavée » de sentiers tous plus beaux les uns que les autres et l’idée me trottait dans la tête, depuis un moment, de convier des amis pour faire une randonnée un peu spéciale…

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En effet, randonner avec les amis, c’est déjà très bien… Mais y ajouter quelques chronos sur des spéciales descendantes, ça peut être encore mieux. On s’est déjà tous retrouvés sur des randos organisées et se faire bouchonner dans toutes les parties sympas, c’est un peu dommage. Idem pour celui qui bouchonne, l’impression de gêner gâche un peu la rando… Après, il est clair que se « tirer la bourre » avec les potes sur un single, c’est souvent bien marrant. Mais pour une fois, faisons parler le chrono sans être sur une vraie course (et cela permet aussi à certains de s’entrainer pour de bon).

A la fin de cette rando qui propose donc 3 spéciales chronos d’enduro, l’objectif était, pour tout le monde, de rester sur place pour « s’enfiler » un pique-nique collectif, agrémenté de bouteilles de Rosé local… D’où le nom: Randurosé Rando-Enduro-Rosé.

Pour parvenir à organiser cette rando, j’ai donc décidé de partir sur un parcours d’environ 2h tout en sachant que le jour J, ce serait plus long vu que je ne serais pas seul à rouler, et qu’il faudrait organiser les départs en haut de chaque spéciale.

Pour faciliter le passage de mes invités, j’ai passé quelques heures sur les sentiers pour les « ouvrir » un peu, les débroussailler…

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Sur le circuit de la la rando, chacune des 3 spéciales était dans une zone relativement proche pour faciliter leur balisage. Car oui, il a bien fallu baliser les circuits vu que mes invités ne connaissaient pas vraiment le coin.

Pour ce faire, il me restait un peu de rubalise de mes anciennes pistes de DH de Valloire et je suis allé acheter 2 bombes de peinture temporaire.

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La veille (samedi), en milieu d’après-midi, Dom (que je remercie encore) et moi sommes allés baliser les circuits des 3 spéciales (ça nous a prit 2h45). Quelques morceaux/nœuds de rubalise dans les arbres, et quelques traces de peinture sur les cailloux, pour guider les copains.

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Dimanche, le « jour J », 10h00…

Les circuits sont nettoyés et balisés et mes 19 invités sont là. Pour les rassembler, rien de plus simple ! Il a fallu créer une page facebook privée (!!!) et lancer les invitations… Je voulais qu’on soit une vingtaine, pas plus ! Avec 1250 contacts sur facebook, j’aurais pu faire beaucoup plus en mode « public », mais j’aurais eu du mal à organiser le truc, et j’aurais eu quelques soucis !

 

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Après une bonne demi-heure de montée technique, c’est le moment de s’attaquer à la première spéciale.

Avant le départ, j’explique à tout le monde quoi faire pour les chronos…

Je vais partir en premier pour me poster en bas avec mon chrono. A mon départ, Dom (qui organise les départs de mes invités, toujours dans le même ordre), déclenche aussi son chrono. On en convient qu’il fera partir le premier à 4’00 », puis le second à 4’30 », puis le troisième à 5’00 », puis le quatrième à 5’30″… etc jusqu’à son départ.

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Avec ces 4’00 » de « battement », ça me laisse le temps de faire la spéciale, d’arriver au bout, de sortir mon chrono et ma fiche des temps avant que le premier n’arrive. Je note donc les temps d’arrivées des copains (sur mon tableau) et je ferai les soustractions, plus tard:

Temps du premier à l’arrivée – 4’00  = Temps de la spéciale 1 pour le premier/ Temps du second à l’arrivée  – 4’30 » = Temps de la spéciale 1 pour le second / Temps du troisième à l’arrivée – 5’00 = Temps de la spéciale 1 pour le troisième / Temps du quatrième à l’arrivée – 5’30 » = Temps de la spéciale 1 pour le quatrième… etc

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Pour être sûr de bien récupérer tous les temps des invités (dans le cas d’une arrivée groupée), je leur avais aussi donné, à chacun, un feutre indélébile et un petit « carton-chrono » pour qu’ils écrivent leurs temps d’arrivée sur chacune des 3 spéciales (que je criais lors de leur passage). Et je les aurais récupéré à la fin pour compléter les trous dans mon tableau… Au final, cela n’a pas été utile car j’avais le temps de noter toutes les données sur ma fiche, en même temps que je chronométrais (ou parce que Julien Chaudeyrac les notait à ma place sur les spéciales 1 et 2).

Le plan du circuit pour les accompagnants, ma fiche-chrono, les feutres indélébiles (ça coûte un bras !), la liste de départ pour chaque spéciale pour Dom, son carton-chrono avec d’un côté le temps de battement par spéciale et ses temps d’arrivées, et les cartons-chronos des invités avec les temps à l’arrivée de chaque spéciale:

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En bas de la spéciale 1, la plus courte, tout s’est bien passé (sauf Marie Pastre qui s’est « pommée » mais qui sera vite retrouvée par Julien Giraud). Cette spéciale alternait des parties de pédalages à plat sur un sol lisse (et ça chauffait bien les cuisses !), et des parties descendantes techniques dans les cailloux, puis dans la terre meuble.

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Après cette spéciale, il a fallu remonter au sommet de la colline pour faire une petite « boucle de découverte » qui passait dans les carrières souterraines de Saint-Restitut…

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Mais avant cela, Jey Maréchal avait un challenge à remporter: la montée de cette marche au-dessus du village troglodytique de Bollène (il s’y était repris 7 fois avec moi en rando l’an dernier, et ça avait failli passer !)… Mais c’est Didier Payet qui a relevé le défi le premier, puis ensuite Benji Jolly, puis Yannick Pontal et enfin Jey Maréchal. Cette marche est déjà une épreuve à descendre… et eux la montent ! Ils sont marteaux !

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Après la « boucle de découverte », direction le sommet de la colline pour la spéciale la plus longue…

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Pour la 2è spéciale, même topo que pour la 1ère pour les départs: même ordre, mais avec 8′ de battement cette fois-ci, entre mon départ (qui lance le chrono, et celui du premier de la liste, Yannick Pontal)…

2 fois plus longue que la première (et faisant tout le dénivelé de la colline), cette spéciale attaquait par une ligne tracée dans la forêt avec de la pente, des cailloux, puis elle enchainait sur un single assez rapide d’abord en terre puis sur des grandes dalles qui tapaient bien. Plus loin, il fallait zig-zaguer sur un single sablonneux avant de basculer dans une forêt de pins où le tracé serpentait entre les arbres. L’arrivée se faisait sur une dernière partie rapide (mais il y avait une petite montée de 30m, juste avant, qui cassait les pattes !)

Malheureusement, Romain Goulesque (Team VoulVoul Racing), Kevin Locquet (Pivot Cycles) et Benjamin Jolly se sont perdus dans leur descente… Dommage.

Il est 12h30 et j’annonce à tout le monde qu’il faut remonter quasiment en haut de la colline… Certains m’annoncent « qu’ils ont les lumières qui s’éteignent »… C’est de l’enduro !

On monte pendant une bonne demi-heure et on se termine sur la 3è spéciale.

Le haut est en plat-descendant mais assez rapide (encore sur une piste lisse) puis ensuite, il faut tourner à droite au milieu des buis pour enchainer des virages sablonneux (où certains taperont et sortiront de sacrés cailloux !)

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… et basculer un peu plus dans la pente.  Plus loin, le single est rempli de cailloux, de dalles, ça secoue jusqu’à l’arrivée ! (2 photos prises pendant une journée de débroussaillage)

 

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13h20, tout le monde est à l’arrivée (sauf Marie qui ne se sentait pas bien dés la spéciale 2).  Christophe Jégo a malheureusement crevé dans la spéciale. Julien Chaudeyrac, qui ne voulait pas prendre part aux chronos puisqu’il revient de blessure, a craqué, et s’est fait le 3è chrono…

Voila ma fiche-chronos une fois terminée, au « propre ».

A noter qu’il faut être attentif sur les horaires de départ, parce que si on ne fait pas attention, on décale vite tout le monde de 30″ dés qu’un concurrent abandonne.

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Yannick Pontal (Transition – 3è du classement général de la Coupe de France d’Enduro 2015) termine 1er, mais ça, on s’en doutait ! Didier Payet, du Team VoulVoul Racing, est second et doit remettre en cause son départ en retraite de la compétition VTT ! Jey Maréchal (Giant – sur le podium Master la semaine passée à Séguret pour l’Urban DH) est 3è… etc

Dommage pour ceux qui se sont perdus dans la 2è spéciale, Romain Goulesque et Kevin Locquet sont des pilotes qui ont fait quelques Coupe du Monde de DH ou de 4X, et Benjamin Jolly a terminé 2è de la Mégavalanche Amateur cette année…  Mais ça reste juste une rando entre pote, aucun d’eux n’étaient déçus à l’arrivée.

Quant aux copains aux palmarès moins prestigieux, mais souvent très investis dans les clubs locaux (Calvisson VTT, César Bike Laudun, Lachtouteam La Grand Combe), et aux copains de Suze La Rousse, ça leur a permit de bien se marrer, de rouler avec des « avions de chasse », de pédaler à leur niveau… etc

Après la rando, comme prévu, c’est parti pour le pique-nique où chacun a ramené ses spécialités, notamment les gardois de La Grand Combe qui ont « fait péter » la saucisse sèche, la tarte à l’oignon, la crème de marron… Christophe Chaudeyrac (César Bike), le viticulteur, qui a amené son rosé de Tavel, ou encore Nicolas de Boulatsel (Calvisson VTT) qui a sorti la Fougasse (sucrée) d’Aigues-Mortes … etc

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Quelle chance d’habiter dans un coin pareil, et de pouvoir rouler dans ces conditions !

Et puisqu’on respecte tout cela, on n’a pas oublié d’aller ramasser la rubalise dés ce matin 9h avec Jérôme Dès, alors que la brume recouvrait la Vallée du Rhône… Et on en a d’ailleurs profité pour ramasser des détritus dont nous n’étions pas à l’origine (des bouts de plastique, une bombe de peinture…etc)

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Vous avez maintenant toutes les raisons d’organiser une telle sortie chez vous, avec vos potes, sur votre spot… Avec 2 chronos, une feuille et un stylo (pas besoin de vous embêter avec les petites « fiches-chronos individuelles »), vous pouvez organiser un mini-enduro, ou même une DH… L’essentiel, c’est de s’amuser, et de terminer par une bonne « bouffe » !

 

Urban DH de Séguret 2015

Dimanche avait lieu l’Urban DH de Séguret (84), la 2è manche de la série de courses de VTT de Descente urbaines qui existe depuis l’an passé. Après la manche de Briançon et avant celle de Grasse, Séguret représente l’évènement Xtrem Events le moins « urbain » de la série car le tracé prenait place dans un petit village viticole classé au patrimoine; mais avec beaucoup de détermination et de passion, l’organisation a su proposer un circuit complet et aérien des plus impressionnants.

Maxime Lleba, vainqueur en Junior:

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Robert Julien de La Grand Combe:

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L’ambiance, lors de cette course, était vraiment très sympa et le niveau des concurrents était globalement assez élevé ! Il y avait Sébastien Claquin (Champion du Monde Junior d’Enduro 2014), Antony Villoni (un des meilleurs freestylers au monde), des pilotes du Team VVR (Romain Goulesque, Marc Cabirou…), Jey Maréchal et  Dam’s Lopez pour Giant Bicycles, Cédric « Pouky » Carrez pour Intense Cycles…Bref, des pilotes venus parfois de loin, et pratiquants toutes les disciplines du VTT « newschool » (DH, enduro, dirt…)

Le « petit » Chapelet… 13 ans… ça envoie !

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Anthony Chirossel:

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Dam’s Lopez et Laurent Philis:

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Jey Maréchal:

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Après 2 manches chronos remportées par Camille Servant, les 20 meilleurs étaient conviés à participer à la Super Finale et c’est Sébastien Claquin qui a gagné ce « super run »… Le show a été bien orchestré par Xtrem Events et à Grasse, ville ôte de la prochaine manche, ça va être le feu !

Voila le lien vers les classements.
Retrouvez le résumé complet de la course dans cette vidéo TchoukTV:

 

 

Mohawk’s Cycles – Roc d’Azur 2015

Mohawk’s Cycles (page facebook), distributeur Pivot Cycles, Enve Composites, K-Edge, Chris King, Open, Cane Creek, Litespeed, Parlee, Cielo, ESI Grips, Praxis Works, Lauf, Arundel, Vélosophe et WD40 Bike, était au Roc d’Azur 2015 et présentait, sur son magnifique stand, beaucoup de nouveautés et de pièces d’exception.
Vous voila immergés dans l’univers Mohawk’s Cycles, à la rencontre des garçons qui font que cette entreprise grandit chaque année.
Filmée le dimanche (après 4 jours « d’exposition intensive »), vous détecterez peut-être, dans cette vidéo, la fatigue de certains, les traits tirés, mais vous apprécierez sûrement la bonne humeur qui règne dans le groupe…

Chaque année, le stand Mohawk’s Cycles prend de plus en plus d’ampleur et se remplit de pièces dont on rêve tous, en témoignent les nouveaux VTT de la gamme Pivot Cycles 2016:

Le Mach 6 Carbon (monté en Di2)

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Le même cadre, mais en version alu:

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Le DH de la marque, le Phoenix Carbon:

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La nouveauté de la rentrée, le Mach 429 Trail (en 2 coloris):

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Un petit Mach 4 destiné aux filles:

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Quelques roues et composants Enve:

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Et le plus important, la bière des cyclistes, la Vélosophe ! (Devant un cadre Mach 6 Carbon)P1100028 P1100029

Il y avait tant de produits, tant de pièces à filmer/photographier sur ce stand, que j’aurais pu faire 500 photos… Alors voici ma vidéo du stand Mohawk’s, avec l’essentiel (avec quelques très jolis vélos de route ou gravel bikes par la même occasion).

Lors de cette journée de dimanche, le stand n’a pas désemplit, sauf peut-être un peu entre 12h30 et 13h30, ce qui m’a permis de faire quelques plans avec la steadicam, mais c’était bien compliqué de passer avec mon bazar tant l’affluence est restée élevée. Il faut dire que le stand était idéalement placé, immédiatement à l’entrée du salon couvert… Mais comment ne pas être attiré par la qualité du matériel présenté ?!