Le Randuro de La Grand Combe 2018

Enduro, potes, rigolades, fun, charentaises, bières… et fracassage de l’espace (enfin pas moi heureusement)

[Attention, une partie de ce message pourrait heurter la sensibilité des plus jeunes]

Voila, dimanche c’était la Randuro de la Grand Combe et j’y suis allé avec Romain Goulesque. La tête dans le ionf , levés à 6h20, on retrouve là-bas Benji Jolly, François le Facteur mais aussi Patrice Afflatet (avec son E-Mondraker), Joël, Nicolas  du Team VoulVoul Racing et on s’élance vers 8h45 après avoir récupéré les plaques.
Ça caille un peu mais je m’attendais à bien pire ! Patrice a quand même deux maillots, c’est que ça caille ! On monte vers la Spé 1 en papotant. on refait le monde de la Dh World Cup avec Patrice puis on attaque la descente. Cette spéciale est courte et elle met dans le bain… Sympa pour l’échauffement !
La liaison vers la spéciale 2 se fait tranquillement et arrivés au départ, je me dis que je la connais. Punaise, qu’est ce qu’elle est chaude celle-là ! Les cailloux du début, c’est un peu un mix d’enduro, de trial et de parkour. Je sors les pieds de partout, c’est n’imp ! Je suis une buuuuse ! Bravo à ceux qui parviennent à passer !
Arrivé au bout du premier tiers, au croisement du chemin de 4X4, j’attends les potes (puisque je suis parti devant) et là j’entends « bboowwaaaaaaaa ». Je me retourne et je vois un mec qui viens de sauter un truc que même les meilleurs pilotes que je connais ne tentent pas, il pique du nez et atterrit avant ce qui aurait pu servir de réception. Blaaammmm la roue avant dans le talus, il laisse les mains sur le guidon en passant par dessus et s’éclate la tête sur le chemin (en casque bol). Il glisse sur 1m, le visage en mode dameuse puis il s’immobilise, les bras le long du corps et les pieds relevés. Black-out !
Woooaaa, je vous raconte ça parce que ça m’a choqué ! Vous savez que je dégaine vite l’appareil photo mais là, non, je n’ai pas osé faire d’image !
Le gars est par terre, il a littéralement le sang qui gicle de l’arcade puis quand on l’attrape il reprend ses esprits et on va l’assoir 3m plus loin, hors de la spéciale. Il saigne moins mais il a tout le côté de la tête couvert, genre comme dans Brave Hart après un combat de Mel Gibson.
Je ramasse et rassemble son bazar: guidon carbone coupé, selle arrachée, fourche tordue, cadre Cube carbone rompu, lunettes sans verres, support de GPS arraché… le carnage total ! Je n’avais jamais vu ça ! (Même en Coupe de France/Coupe du Monde de DH)
Joël est là, il appelle les secours et me dit que le gars a prit l’appel non pas sur le caillou/tremplin où habituellement certains tentent de sauter mais sur le talus derrière (je me suis retourné après en l’entendant crier et j’ai vu la cartouche qu’il s’est prit. Je n’ai pas vu le début du saut). Mais il est dingue ou quoi ? En gros il est passé 1,50m au dessus de… L’appel !
J’entends le gars, assis derrière, qui dit qu’en passant à côté en montée il a pensé que ça passait… Hooo mais il a fait exprès en plus ? Champion du Lancer de Viande !
Franchement, je crois qu’on peut en rigoler maintenant vu qu’il semblait avoir retrouvé ses esprits et qu’il a juste bien saigné au niveau de l’arcade… Mais t’as grillé une vie aujourd’hui mon gars ! Fais gaffe à toi ! C’était juste une « randuro »…
Bien calmés, on finit la Spé 2 qui reste toujours assez technique sur le bas…
Remontée vers la Spé 3. François et moi partons un peu devant. Je suis avec des avions de chasse alors je vais faire des Kom… en montée au moins ! (Je n’ai même pas Strava )
Dans cette Spé 3, je me fais bouchonner et je bouchonne aussi. il y a un peu de monde. Simon André  me passe avec son groupe mais il pourrait bien se retrouver à se tirer la bourre avec Goula devant.
La liaison vers le ravitaillement et la Spéciale 4 est assez longue et se termine sur la route. On a vraiment de la chance en haut, il n’y a pas de vent et on sent bien que l’air est froid !

Je découvre cette spéciale sinueuse, tortueuse, ludique et sans gros danger… J’adore ! Ça ressemble un peu à ce qu’on trouvera à l’Enduro des Terres Noires (mais là-bas ce sera bien plus long !)
J’entends les copains, derrière, qui me rattrapent et qui gueulent à chaque appui où ils arrachent la terre !
Dans la liaison vers la Spé 5, je monte à un bon rythme avec Arnaud Garanger, lui qui m’a bien régalé en décembre avec sa cam’embarquée de la Méga de la Réunion.
Les copains me rejoignent en haut et on descend cette petite spéciale qui a été bien travaillée (je la connaissais, avant). Elle est désormais bien plus ludique mais il reste quelques passages trialisants qui me font lâcher quelques infamies verbales « Meeeer.. !!!! Fait Chi.. !!!! »

Plus qu’une dernière liaison et on sera sur la dernière spéciale. Je monte avec François. Celle-ci démarre du départ de la DH… Que certains découvrent avec stupeur. Oui, la DH de La Grand Combe est aérienne et très travaillée !
On descend dans les schistes puis dans les pins avant de finir par une partie sinueuse dans la terre et quelques ruptures de pentes. J’adore ! La fin se fait dans la grosse pente et les copains roulent comme des malades… Moi je sers les fesses !

Ça y est, on est à l’arrivée ! Damien Carati et Cédric Petit ont fait la spéciale avec nous depuis le sommet. On est aussi rejoint par Gérald Serdos (en fatbike) et Guillaume.

Tout se finit bien pour nous !… Remarque, ce n’était qu’une rando ! C’était pas la peine de se prendre trop de risques !
La petite bière à l’arrivée vient conclure la matinée. 29km et presque 1200m de D+ sur des spéciales vraiment techniques et aussi ludiques, on a bien rentabilisé !

Retour à la maison avec Goula le Gitan (il a la machine a laver dans le Trafic Prêt pour installer le camp de Gipsy King n’importe où !), la tête dans le ionf encore !

Merci aux organisateurs ! C’est pas une randuro de rigolo à LGC !

Le Pas de Peyrol (Cantal) en ski de rando… Dans le vent et le brouillard

Hier à la capitale, aujourd’hui dans le Cantal !
Hier dans les bouchons, aujourd’hui l’évasion !

Je rentre des chez Mohawk’s Cycles en région parisienne et j’ai fais un « petit détour » par Mauriac pour voir ma mère et récupérer mon fils en vacances, et j’en ai profité pour aller faire un tour en rando.

Bon, à la base je voulais aller faire un tour de ski de rando à Chastreix, la petite station de l’ouest du Sancy (où je ne suis jamais allé) mais le vent s’est levé et avec ce froid, j’ai choisi d’aller voir du côté du Falgoux dans le Cantal pour tenter une ascension du Puy Mary (et me retrouver un peu plus à l’abris au moins au début de la montée)… Mais j’ai dû m’arrêter au Pas de Peyrol. Trop de vent, trop froid, trop peu de visibilité pour aller jusqu’au sommet.
Pas grave, c’était sympa de monter là-haut en cette période ! Je n’ai bien-sûr croisé personne et j’ai juste aperçu 2 biches.
La petite station de ski de fond du Pont des Eaux au Falgoux est ouverte. J’ai dû y skier, pour la dernière fois (en fond) il y a presque 30 ans… Et ça faisait plaisir de voir le parking rempli de voitures à 14h. Les deux téléskis d’antan n’existent plus, quel dommage (pas assez de neige, pas aux normes… Fini le ski alpin).
Cette vallée du Falgoux, la vallée du Mars, c’est 30-40km avec plein de magnifiques villages composés de maisons de caractères (toits en lauzes, pierres de lave), et même des châteaux et les 3/4 sont fermées et à vendre. Il n’y a plus une école… Presque plus d’enfants… Que c’est triste ! Mais qu’est ce que c’est beau !
Bravo aux gens qui maintiennent un peu de vie dans ces coins enclavés de nos montagnes françaises ! La capitale est bien loin…

 

Quelques images…

Début de montée.

 

L’eau jaillit partout ici.

Comme des coulées de glace sur la route.

Avant de sortir de la forêt sur la route du Pas de Peyrol.

C’est parti pour un coup de souffleuse froide !

La neige soufflée s’accumule sur la route.

Après l’épingle.

Un peu de pente.

Givre.

Il y a tellement d’eau ici !

Arrivée au Pas de Peyrol, dans la tempête !

A l’abri du vent.

 

Attention dans la descente !

 

J’ai quand même réussi à faire quelques courbes ici.

Je finis par la piste noire de ski de fond.

Réconfort au site nordique du Pont des Eaux.

Le Pont des Eaux.

Le Falgoux à 17h45… On ne voit pas le Puy Mary, en face.

 

 

 

Du Mont Ventoux, tu vois la Mer Méditerranée, skis aux pieds !

Le Mont Ventoux, je l’ai monté deux fois en VTT côté Malaucène, une fois en vélo de route côté Bédoin (avec la crève), j’ai aussi roulé quelques fois le Bikepark du Chalet Reynard et j’y ai même filmé Alexandre Neulat… Mais une chose est sûre, en hiver, cette montagne est incroyable et imprévisible !

La première fois que j’ai tenté l’ascension, il y avait tellement de vent et de brouillard que j’ai dû rebrousser chemin à 200m du sommet. Puis j’y suis retourné un autre jour de vent, pour enfin atteindre ce sommet. J’y suis repassé deux autres fois en prenant soin de monter par quelques endroits un peu plus pentus histoire de faire quelques conversions… Et à chaque fois, je n’ai pas été déçu par cette montagne ! Oui, le Ventoux est dans le Vaucluse et forcément on pense au soleil, à la Provence, et pas vraiment à la neige et au ski-alpinisme (enfin au ski de rando pour ma part) mais qu’on se le dise, le mont chauve permet de goûter à la vraie haute-montagne, avec ses joies et ses caprices !

Cette saison, et comme l’an passé, la petite station du Mont-Serein n’a pas pu faire tourner ses téléskis: pas assez de neige pour damer correctement les pistes (quel dommage). Mais il a quand même neigé un peu ces derniers temps et les températures froides de ces derniers jours m’ont laissé imaginer une montée en peaux.

… Et là, biiimmm, en début de semaine j’aperçois des images sur les pages facebook de Laurent, Thibault, Dam’s et Damien puisqu’ils ont fait l’ascension en début de semaine juste après le dernier coup de neige.

« Mais ça passe ?!?!?!? »

Hier soir, Laurent me dit que ça passe en effet, qu’il faut être méfiant parce que ça peut « toucher », et que la partie sommitale est soufflée.

Les prévisions météos pour aujourd’hui n’étaient pas bonnes pour ce matin mais le soleil devait arriver cet après-midi, mais suivant les sites, le vent devait se maintenir à 60km/h au Mont-Serein… Donc au sommet un bon 100km/h ?

Bon, de toutes manières, je suis prudent et je sais ce que c’est que le vent là-haut, je me suis même fait coucher à deux reprises lors d’une montée en 2015 (et je m’étais pris un de mes skis dans la tronche).

Je pars de la maison et ça souffle bien… Déjà un peu perplexe. Mais sur la route, je vois que le sommet est dégagé, cool !

Arrivé au Mont-Serein, pas de vent… C’est bon ça !

il y a pas mal de familles qui font de la luge sur le petit front de neige et ils me regardent tous bizarrement. Il y en a un qui me demande si je vais démarrer un téléski.

Tu le vois le géant qui lève ses bâtons ? (Webcam du Mont-Serein)

J’attaque la montée en me disant que je trouverai  le vent un peu plus haut et qu’il forcira dans l’ascension.

Direction la Combe Loubatière, j’aperçois quelques autres randonneurs plus haut. Je vois un peu d’herbe qui dépasse de la neige mais globalement, ça semble bien skiable !

Dans le mur du haut de la combe, il y a quelques cailloux… Il faudra que je fasse gaffe en descendant !

Après 3 petites conversions, je débarque dans le virage de la boule et… Punaise, pas un brin de vent ! Ça souffle dans la vallée et ici, rien… Je ne comprends pas ?!

Me voila au sommet. Je fais le tour du bâtiment et je me rends compte que côté sud, il n’y a pas beaucoup de neige et la route a même été fraisée (hier apparemment)

Côté nord, la vue sur les Alpes est toujours aussi sublime, surtout en cette période !

Côté ouest…

 

Puis quand je regarde au sud-ouest, je vois le soleil qui réverbère sur le Rhône et tout au fond il y a un grand truc qui reflète aussi… Mais… Mais c’est la Mer Méditerranée  !

« Wooooo, énorme ! »

J’en reviens pas ! Quelle surprise ! Si j’avais su, j’aurais pris mon gros appareil photo plutôt que mon petit machin de poche !

J’avais déjà aperçu la mer depuis le Mont Bouquet dans le Gard mais là, je suis encore plus loin, et plus haut !

(Il semblerait qu’elle soit à plus de 100km et il y a plusieurs autres images et théories qui prouvent ma vision, sur le net)

 

Je pourrais rester là des heures, je sens le soleil qui me réchauffe. Il n’y a pas un bruit et la vue est magique ! Encore une fois, le Ventoux me surprend !

Mais il faut y aller ! Je « dépeaute », je remonte sur les skis et goooo !

Après quelques minutes de descente où je ne touche qu’un petit caillou, je suis de retour au Mont-Serein, au milieu des familles en luge qui ne comprennent pas d’où sort cet extra-terrestre en ski.

Voila… Bon, clairement, ce n’est pas un exploit et je ne vais pas m’inscrire à la Pierra Menta après cette montée du Ventoux ! Mais je vous conseille de monter là-haut pour être surpris et émerveillés comme je le suis à chaque fois ! Et puis vous pouvez aussi emmener vos gamins faire de la luge, ça leur fera du bien de les sortir et de les amener « à la neige » !

Enduro’Cambolesque // La Randuro Artisanale

Voila un titre bizarre… Pourquoi, je n’en sais rien. Il n’y a même pas d’explication… Mais après l’Enduro Open OTB (Open The Bar) de Nicolas De B. et son équipe, j’ai cogité un peu et je me suis dit que ce serait pas mal de refaire ce genre de petite organisation dans mon coin. En plus, depuis quelques temps j’ai découvert des chemins assez chouettes sur Clansayes et Solérieux, alors autant envoyer les copains là-dedans !

Clairement, mon circuit était une randuro: 31km et presque 800m de D+, il permettait de voir du paysage et de proposer 4 spéciales quasiment 100% descendantes.

Mes premières courses d’enduro, notamment dés 2004 à Valloire, c’était ça: des spéciales chronométrées en descente et des montées en télésièges. Aujourd’hui, le format rallye est en train de prendre le pas sur l’enduro et certaines spéciales de courses régionales comportent de sacrés montées, ou tout du moins, de bons « gros pétards » ! Bof bof… Faut que ça descende et que la selle reste en bas dans les spéciales (c’est mon avis).

D’un autre côté, dans mon secteur, difficile de proposer des montées en télésièges donc le format Rallye, et bien j’y suis un peu contraint. Alors forcément, il fallait monter à la force des mollets  mais, je le répète, les spéciales descendaient !

Après quelques recherches, je détermine un circuit et après 2-3 séances de nettoyages solitaires, je lance les invitations aux copains.

Une partie du circuit…

Petit repérage en famille:

 

Au final, je me retrouve avec 18 riders, du local qui n’a fait que quelques courses aux gars qui sont déjà montés sur quelques boites en DH et en Enduro régional, national et international, et même en Trial… Hooo yeah !

 

Nico, dont je parlais au dessus, fera les départs. Je chronométrerai, Dom notera les temps et Jordan guidera les pilotes sur un carrefour dans chaque spéciale… Et je ferai les chronos.

… C’est du minimaliste… Mais il n’en faut pas plus pour s’amuser avec les potes !

 

La première spéciale, derrière Clansayes, était très courte mais bien inclinée ! Un single, des cailloux, quelques racines, un air de sentier de montagne, Romain Goulesque descend en 1’15″… Pwwooaaa !!!

Puis vient la liaison avec un bon portage. Mais ça vaut le coup vu le magnifique chemin d’en haut.

La seconde spéciale, quasiment face à la première, dans les pins, sur une piste plus large mais plus longue, donc bien plus rapide et sur un sol sablonneux, s’enquille à fond et Adrien Pontier finit 1″ devant Romain: 1’34″… Huuu, ça sent la bataille !

Et ça commence à faire des calculs dés le ravitaillement.

 

La troisième spéciale, sur Solérieux, ne présentait pas une grosse inclinaison et même pas de réelle difficulté. Il fallait juste être capable de « bourriner » du départ à l’arrivée et de prendre les petits appuis correctement… Ça fait du bien de rouler à 40km/h tout le long et tout le monde a l’impression d’être bon ! Et Romain  reprend 1″ à Adrien en 1’48 ».

S’en suit une longue liaison de Solérieux jusqu’au Belvédère de Saint-Restitut…

 

La quatrième spéciale, au départ de Saint-Restitut, descendait jusque dans Saint-Paul Trois Châteaux… C’est la plus longue, la plus variée ! De la bonne pente sur le haut, un passage Star Wars (un S avec des grands murs de chaque côtés), de la « grosse tabasse » après. Elle comportait une toute petite montée sur le bas avant de finir sur une section rapide en courbes. Et c’est là qu’il fallait faire la différence ! Malheureusement pour lui, Romain se sort un peu de l’arrière sur le haut et traine une branche derrière lui… Punition ! Adrien lui colle 11″ et descend en 2’41 ».

Au final, Adrien Pontier termine 9″ devant Romain Goulesque suivi du jeune Alexis Saint-Dizier. Jocelyn Costanzo (4è) a sacrément envoyé puisqu’il termine devant Didier Payet (5è) et François Boulin (6è) qui connaissaient un peu les circuits ! Un peu plus loin, Marie Pastre remporte la catégorie Dames (mais elle finit aussi dernière cette catégorie haha) et Patrice Afflatet remporte, de la même manière, la catégorie E-Bikes (hahaha)

Bon, je vous raconte cette sortie sous le prisme de la compétition… Mais on s’en fout un  peu ! Il s’agissait en fait d’une randuro entre potes et en mettant en place quelques chronos, certains ont pu s’entrainer un peu, ou simplement « se tirer la bourre » et au final, il n’y avait qu’une seule chose qui comptait: raconter nos exploits une fois en bas et se boire un petit coup tous ensembles !

 

Merci d’être venus les amis, merci à Nico pour les départs, à Dom pour les temps, à Jordan pour le guidage à Raph, Éloy et André pour le ravitaillement en bas de la Spéciale 2 et à Marie pour les pizza, cake au jambon, cannelés, financiers, le café… etc Grand luxe le ravito Belle-Mère Cooking !

Mon Pivot Cycles Phoenix 2018 // Le seul XL en France

Voici des images de mon nouveau VTT de Descente. Bien-sûr il s’agit d’un Pivot Cycles donc forcément d’un Phoenix et mis à part les nouveaux freins Shimano Zee et la selle Funn Adlib, toutes les autres pièces proviennent de mon ancien Phoenix 2015.

La seule particularité de la bête, c’est qu’il s’agit du seul modèle XL sur le sol français. En 2015, c’est taille n’était pas disponible et je roulais sur un L. Désormais, c’est le cas, le XL est en vente alors j’en ai profité !

Voici, tout simplement, les photos de la bête. le montage complet et détaillé est ici.

 

De belles images de DH VTT