5 jours après, je remonte au Cougoir

Le facteur avait une petite envie de montagne, alors je l’ai emmené au Cougoir ! Un peu frustré de ne pas avoir pu atteindre le sommet jeudi dernier avec Gaëtan (vu qu’il était squatté par les chèvres et surtout le patou grognon qui les surveillait. On était allé à côté sur la montagne La Croix), ça ne m’a pas dérangé de refaire le même circuit juste pour refaire ces 200m qui emmènent vers un point de vue à couper le souffle (en haut d’une grosse barre rocheuse avec 700m de vide en dessous, et une vue à 360° sur le Vercors, les Baronnies, le Ventoux, la vallée du Rhône…)
On est donc partis d’Aubres et la nouveauté de cette semaine, c’est qu’on a entendu les cigales pour la première fois là-bas ! L’été serait-il en train de ramener sa fraise ? (Oui, j’en connais un rayon moi pour ce qui concerne les fraises, je les cueille ! #ComprendraQuiPourra)
Et puis avant même de mettre le premier coup de pédale, on se fait interpeler par un VTTiste que je reconnais et qui nous propose d’aller rouler avec lui, alors qu’il est en E-bike, sur des chemins techniques et trialisants… Alors vu le bonhomme, quand il parle de « technique et trialisant », c’est direct un gros « non » que je lui lâche… Pourtant il m’a fait rêver à une époque ce multiple-champion du monde de VTT… Tu as trouvé qui c’est « vieux » ? François ne l’avait pas reconnu mais une fois que j’ai lâché son nom, il était tout content de revoir cette légende ! Thierry Girard !!!


On est donc partis sur le Col Flachet, descendus vers la Combe de Sauves pour remonter au Cougoir, soit 350m d+, 150m d- et 720d+ sur 12km… C’est là que j’ai compris que j’avais les jambes dures aujourd’hui, et que le facteur était toujours fidèle à sa réputation: quelle machine en montée ! Je l’ai laissé partir en montée… 3 fois !


Presqu’au sommet, on arrive au niveau du chemin en « T » où tu choisis d’aller à droite sur le Cougoir (1214m) ou sur la Montagne La Croix (1221m) à gauche (comme la semaine dernière) et on comprend que les chèvres et le patou sont à gauche, ouf ! Direction LE plus beau sommet.
Il y a un peu de vent, on ne traine pas trop, mais qu’est ce que c’est beau là-haut !


On descend par le chemin de la crête jusqu’à celui de la Pousterle, et cette fois-ci on peut l’attaquer dès le sommet. Trop beau !
Le haut du chemin de la Pousterle est vraiment chaud, et le bas est vraiment sympa et on passe à droite, vers les Cognets cette fois-ci, dans un genre de single rempli de graviers, malheureusement aussi rempli de genets en bas.


On continue vers Condorcet en passant au pied des marnes (terres noires) puis on trace sur la route jusqu’aux Pilles, direction le chemin du Crapon.
On n’est qu’à 1km d’Aubres à vol d’oiseau et on monte faire la petite spéciale du relais et François crève… Je vais chercher le Tchouk Berling’Assistance, pas question de réparer si près de l’arrivée.
Encore une chouette sortie dans les baronnies, et improvisée dans la voiture en y allant…

Un petit Cougoir ? Enfin presque…

A un m’ment donné, faut y monter sur la montagne ! A cause que ça y fait du bien !
Garé à Aubres (294m), je retrouve le Gaëtan Ravoux (avec qui j’ai déjà roulé mardi matin) pour monter au Col Flachet (646m) et descendre sur le chemin en safre qui va vers la Combe de Sauve (à environ 480m). Pas simple ce chemin, mais tellement beau et original !


On remonte au Col de Venterol à 912m, face au Ventoux, puis on termine l’ascension vers le sommet du Cougoir (1214m) qu’on n’atteindra pas… Il est squatté par les chèvres et surtout un patou bien vénère ! On est verts ! Du coup on monte quand même à la Montagne Lacroix (1221m) juste à côté, histoire de se dire qu’on a fait un petit sommet.


On attaque la descente en récupérant le single de la crête un peu en dessous du Cougoir, pour éviter le patou. C’est dommage de ne pas être montés là-haut pour le point de vue, mais là, on longe la falaise et c’est dément !!! En témoigne le nombre de photos !


On descend ensuite par la Pousterle, le chemin est hyper tendax en haut, et Gaëtan passe partout sauf certaines épingles exposées. Moi je galère mais surtout parce que je ne prends pas de risques. Plus loin le single ressemble à un ruisseau de petits graviers blancs, et c’est marrant de rouler là, un peu comme sur de la neige.


En bas, je me plante et on se tape quelques lacets d’un chemin de 4×4 pour sortir à Ravaux, presqu’à la maison le Gaëtan Ravoux !
A Saint-Pons, on passe derrière la chapelle, il y a des chemins partout et ils sont assez cools ! Mais je ne parviens pas à retrouver mon chemin vers les terres noires… Un prochaine fois !
A Condorcet (350m), on prend la route vers les Pilles et on revient par le chemin du Crapon qui longe l’Eygues. Et puis on se fait encore une centaine de mètres pour aller descendre la petite spéciale du relais avant Aubres.


Une très belle sortie, avant la pluie ?
Dommage pour le patou sur le Cougoir, et que je me sois planté 2 fois… Mais on reviendra !

Beau comme un camion tout neuf avec Origines clothing

Ça doit faire au moins 12 ans que je roule avec des vêtements ORIGINES CLOTHING (avec les maillots Valloire Galibier VTT, Green Master Team et TchoukTV).
A vrai dire, l’an passé, je n’ai pas fait renouveler mes maillots vu que ceux de 2018 sont encore impeccables malgré quelques chutes et traversées de buissons. Pour 2020, je vais en avoir des nouveaux, mais en attendant, je suis équipé !
La marque est surtout connue pour ses maillots 100% personnalisés fabriqués en France, mais elle ne produit pas que ça !
https://www.origines-clothing.com/